Affaire Baby-Loup : Les faits sont têtus, les têtus sont défaits une nouvelle fois !
COMMUNIQUÉ DE PRESSE –
Affaire Baby-Loup :
Les faits sont têtus, les têtus sont défaits une nouvelle fois !
Les plumitifs aux ordres, les « juristes » à deux sous, les xénophobes sans frontière politique s’étranglent de rage. Malgré toutes leurs combines, la roue de l’Histoire avance. Non seulement le Comité des Droits de l’Homme de l’ONU a bien condamné la France dans cette affaire, mais la France sera contrainte de modifier sa législation suite à cette décision.
C’est ainsi que le journal Le Monde, peu suspect de sympathie pour la Libre Pensée, publie ce jour un article dans lequel le Premier Président de la Cour de Cassation indique qu’il a informé les magistrats du siège et du Parquet que la jurisprudence va changer sur la question juridique posée par l’affaire Baby-Loup. Ruinant toutes les constructions besogneuses des xénophobes de tous poils, la justice devra tenir compte, à l’avenir, de la décision du Comité des Droits de l’Homme de l’ONU. La digue des xénophobes est en train de craquer.
La Cour de Cassation confirme que la restriction imposée par Baby-Loup n’est pas « proportionnée à l’objectif recherché ». Le cercueil judiciaire de cette triste affaire va être définitivement refermé et la Libre Pensée s’en félicite. Que de borborygmes et de billevesées n’a-t-on pas entendu sur la décision du CDDH de l’ONU ? Mais force reste au Droit.
La Libre Pensée publie ci-joint :
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Une analyse juridique complète de la décision du CDDH de l’ONU
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Les Communiqués des Confédérations syndicales Force Ouvrière et CGT qui rejoignent en tous points notre analyse.
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Un article de Libération qui commente un commentaire du Canard enchaîné et la correction très honnête de celui-ci.
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L’article du Monde sur la Cour de Cassation.
Chacun, en toute objectivité, pourra ainsi se faire un jugement raisonné.
Le salarié restera un citoyen dans l’entreprise !
La Liberté de conscience vient d’obtenir une nouvelle victoire !
Paris, le 8 septembre 2018