Les faits sont têtus,les têtus seront défaits !

– DECLARATION –
Les
faits
sont têtus,
les têtus seront défaits !
Chaque
jour qui passe
montre le caractère profondément autoritaire et réactionnaire de la Macronie
et de son monarque Emmanuel Macron. Ils refusent obstinément de
respecter l’expression du Suffrage universel qui a indiqué
clairement la
volonté populaire :
–
En finir
avec la Macronie.
–
Balayer
l’extrême-droite et ses alliés.
–
Rupture
complète avec le système dans toutes ses
déterminations politique, sociale, économique, militaire et
institutionnelle.
Ils se
parent des
Institutions, mais refusent la règle des mêmes Institutions qui veut
que le
« parti majoritaire » sorti des urnes soit à la tête
de
l’État. Emmanuel Macron manœuvre, magouille, échafaude des
combines pour
empêcher la volonté souveraine du Peuple de s’appliquer. Mais
tout cela
se heurte sur le rocher de son rejet massif par le pays.
Ses « baronnets »
montent au créneau dans des déclarations invraisemblables qui montrent
encore
une fois que le ridicule ne tue pas. Les sieurs Édouard Philippe
et Gérald
Darmanin dégoisent à qui mieux-mieux : « Pas de
gouvernement
avec des ministres RN et LFI », en
mettant ces
deux entités politiques sur le même plan, ce qui est une forfaiture. Le
fascisme
et l’antifascisme, en quelque sorte, sur le même plan.
Il faut
avoir fait au moins l’ENA et de Grandes Écoles pour
professer de
telles inepties !
Ainsi donc
les
suffrages qui se sont portés sur LFI n’auraient aucune
valeur ?
Mais quand ces mêmes suffrages ont barré la route à l’extrême-droite
plusieurs fois, ce qui a permis à ces « baronnets » en
tous
genres d’être ministres, ces messieurs ne crachaient pas sur ces
bulletins de
vote et ne les traitaient pas avec un tel mépris.
C’est
cela le
personnel politique de la Vème République :
on leur
doit tout,
ils ne nous doivent rien.
Les médias des possédants et autres politologues qui
encombrent les plateaux TV et les médias, qui savent tout sur rien et
surtout
rien sur tout, ont tenté d’expliquer la manœuvre d’Emmanuel
Macron :
tout faire (et il a tout fait effectivement pour cela) pour mettre l’extrême-droite
au pouvoir pour « l’essorer » avant les
présidentielles de
2027. On sait que c’est la même politique d’Hindenburg et de Von
Papen qui a mis au pouvoir Adolf Hitler, on sait ce qu’il
en est
advenu.
La Macronie
a
pavé la voie à l’extrême-droite et applique déjà sa politique
raciste,
antisociale et antidémocratique. Il est bien curieux que certains
« démocrates »
s’évertuent à cacher l’écrasante responsabilité d’Emmanuel Macron
en
refusant obstinément de le dénoncer pour cela.
Mais la
vraie
politique de Macron est donnée par cette « anecdote »
révélée par Maître Arié Alimi, vice-Président de la Ligue
des Droits
de l’Homme que nous publions avec son aimable autorisation : https://x.com/campvolant/status/1808473168610226273.
Cela se passe de commentaire.
Emmanuel
Macron,
c’est déjà l’extrême-droite au pouvoir !
La Fédération
nationale de la Libre Pensée le démontrera encore une fois
prochainement
par l’organisation du Procès public de la Macronie, où elle
invite
toutes celles et tous ceux qui veulent en témoigner. Pour cela, prendre
contact
à l’adresse mail suivante : libre.pensee@fnlp.fr
La Fédération
nationale de la Libre Pensée se déclare prête à toute action
unitaire, sur
tous les plans, contre l’extrême-droite, à la condition
expresse et sine
qua non de dénoncer la responsabilité écrasante d’Emmanuel Macron
et
de la Macronie dans sa progression ininterrompue, ce qui l’a
amené aux
portes du pouvoir aujourd’hui. Ne pas le faire, c’est tromper sciemment
le pays
et les gens.
Pour
lutter
efficacement contre l’extrême-droite, il faut
impérativement :
–
Abroger les lois
scélérates : « loi
scélérate Cazeneuve de 2017 sur la sécurité publique »,
« Sécurité
globale », « Séparatisme »,
« Immigration », les lois et mesures antisociales
« Retraites »
et « Décote » « Chômage »,
« Emploi », « RSA », « AME ».
–
Rompre
avec les Institutions de la Vème
République !
–
Mettre en
œuvre l’élection d’une Constituante souveraine seule à
même de décider de nouvelles institutions démocratiques
et authentiquement républicaines
pour le pays.
La Fédération
nationale de la Libre Pensée entend préserver son indépendance en
toute
circonstance, sa liberté de comportement comme le disait
souvent
son regretté Président Marc Blondel, afin de pouvoir toujours
agir sans
être lié à un contrat de gouvernement, pour la satisfaction des
revendications
du Peuple.
Sur la
base des
enseignements de notre Histoire, la Libre Pensée rappelle
qu’elle a été
partie prenante de la constitution du Front populaire en 1936,
qu’elle a
dû quitter un an plus tard du fait du reniement des revendications
laïques. La Libre
Pensée mit en œuvre alors le Front laïque pour continuer
son action
pour la défense de la laïcité et des revendications y attenant. Il est
donc
essentiel de préserver notre indépendance pour ne pas cautionner ou
participer
aux mêmes erreurs du passé.
Aujourd’hui,
les
premières revendications urgentes sont de chasser la Macronie du
Pouvoir et de mettre en œuvre la politique voulue par le pays par
la mise
en place d’un nouvel Exécutif issu des urnes et par
l’application du
programme approuvé majoritairement par le scrutin électoral.
Pour
sa part, elle rappelle qu’elle souhaite voir
aboutir trois de ses revendications : l’abrogation de la loi
Debré
et des lois antilaïques et la mise en œuvre d’un Plan de
sortie du
financement public de l’enseignement privé, la Réhabilitation
des 639
Fusillés pour l’Exemple de la Première guerre mondiale, l’adoption
d’une
loi permettant une Aide active à Mourir selon les volontés
exprimées
dans des Directives anticipées.
Pour
autant, il n’est
pas dans les attributions de la Libre Pensée de participer à
l’élaboration d’un contrat de législature, ni à son
application. C’est
au Peuple souverain de décider de cela sur la base des
propositions des Partis,
dans lesquels s’organisent les Représentants
du Peuple, qui sont les mandataires de la Démocratie et de
la volonté
populaire, selon le principe établi depuis la Révolution
française
dans notre pays. L’élection d’une Constituante souveraine
participe de
tout cela.
Pour
en
finir avec la Vème République :Constituante élue et
souveraine !
Entre
Bastille et
République, le 14 juillet 2024